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Et toujours F11 pour grand écran

 

 

 

2 possibilités, en autonomie ou traditionnellement à partir des bateaux.

Nous n'avons pas essayé les bateaux, tout simplement parcequ'ils viennent aux mêmes sites que ceux accessibles de terre, à moins de 50m du rivage, mais eux sont payants (36 $ la plongée).

De terre, confiance et autonomie sont les maîtres mots. Notre hébergeur avait réservé un Toyota Hilux (380 $ pour 10 jours) équipé d'un ratelier à bouteilles et un forfait illimité plongée pour 8 jours (150 $... he oui, ça fait la plongée à moins de 7 euros pour notre séjour ). Munis de nos réservations, nous sommes allés nous inscrire au club, et à partir de ce moment là, on prend le nombre de blocs dont on a besoin et on les ramène quand on veut... Seule contrainte, les prendre entre 8h et 17h. Tout est toujours ouvert, on peut ramener les blocs à n'importe quelle heure.

" mais où met-on les autres blocs pendant les plongées ? "... " ils restent dans le pickup " ..." ah bon ? mais il n'y a pas de vols ? " " non, sauf dans le nord où il y a des risques si le véhicule reste seul, laissez le pickup ouvert, sans affaires qui ont de la valeur " ... Surprenant !

En fait, on s'y fait vite, après quelques jours pour se mettre dans le coup, on est passé à 3 plongées par jours, et on serait bien passé à 4 s'il n'avait pas fallu rentrer. La limite c'est la fatigue, les oreilles et les non plongeurs qui, peuchère, passent leur temps à attendre.

 

Quelques liens intéressants

Shorediving
Destination plongée
Dive Friend, notre club

 

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Une soixantaine de sites sont répertoriés (bouquins, sites internets etc... ) et signalés tout le long de la côte par des pierres jaunes sur lesquelles sont inscrits les noms des sites. Peu de plages, il faut trouver les couloirs d'accès au milieu du récif coralien. Au début, inquiétude à l'idée de marcher sur les coraux, oursins et autres, en réalité ça passe presque partout facilement.

Une fois à l'eau le relief est là aussi facilement identifiable (ça peut devenir un reproche à la longue). Un croquis sera plus clair qu'une longue explication.

Une fois sur site, on nage jusqu'au " Drop off ", on prend un point de repère pour le retour, descente à la profondeur choisie (au delà de 25m il n'y avait rien de plus), en fonction du courant, on part à gauche ou à droite et à la moitié du temps ou de l'air, demi tour en remontant d'un cran. Une fois sorti, petit repos, on se réchauffe (eau froide en février à 26°), un morceau de fromage, on change la stab' et le détendeur de bloc, et hop, c'est reparti sur un autre site... même pas besoin d'enlever la combinaison !!! On peut également partir d'un site et arriver à un autre, s'il y a une bonne volonté pour changer le pickup de place.

En résumé (mais il ne faut pas trop le dire)... GENIAL !!!

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(hé oui il en faut tout de même)

Les vagues des cyclones passés ont un peu abimé par endroits la partie haute du récif, ce qui rend le snorkeling au bord moins attractif, mais le corail est intact partout dès 5 - 6m de profondeur.

La faune est assez craintive et se cache rapidement. Il faut dire que même si nous n'avons pas rencontré foule sous l'eau, du fait que chacun plonge à son rythme, il y a du passage, et probablement une lassitude pour les habitants d'être sous les flashs des photographes.

La météo en février : ce n'est pas le meilleur moment pour la plongée, le vent est fort, la mer au vent de l'île agitée, une petite houle de fond se fait sentir même sous le vent, l'eau n'est pas parfaitement claire tout le temps et n'est qu'à 26°. A partir de Pâques, l'eau est plus claire, plus chaude, moins agitée (on peut même plonger au vent).

Du fait du vent et des courants, les sites des extrémités nord et sud étaient peu accessibles. Dommage, ce sont probablement les endroits où il y a le plus de " gros " et où la faune est moins craintive.

Mais tout est relatif,

en 7 jours, les " vieux " ont tout de même fait 16 plongées et se sont régalés !

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Un peu de technique pour ceux qui sont intéressés .

L'équipement s'est agrémenté d'un phare Mangrove 70w - 35w, halogène, faisceau large et verre dépoli. Je pensais avoir résolu tous les problèmes d'éclairage... erreur, ils sont différents.

La nuit, c'est fantastique, 70w "ça balance", mais les 70w sont de trop si l'eau n'est pas parfaitement limpide, ou alors il faut changer d'ampoule pour un faisceau plus étroit.

De jour, son utilité n'est visible qu'à une distance d'1 ou 2 m, pas plus. Dans ce cas il faut régler l'appareil sur "balance des blancs normale" et non pas sur "sous marin", sinon la photo est rouge. Donc en profondeur, réglage normal et phare, et près de la surface réglage sous marin sans phare... simple !!!

Par contre, avec ou sans phare, les meilleures expositions l'ont été avec le flash.

Conclusion : j'ai maintenant la certitude qu'il faut un flash déporté, et même 2 flashs déportés de puissances différentes pour recréer le relief. Reste le coût et l'adaptation aux appareils numériques basiques, mais c'est une autre histoire...

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Ce sont des petits clips vidéos pris avec l'appareil photo.

L'utilisation du phare pose les mêmes problèmes en ce qui concerne la balance des blancs :

 

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